[SGA/G] Dernière Confrontation

C'est le premier de ce qui est devenu une sorte de saga lol. Par contre vous verrez que l'ordre chronologique n'est pas forcément dans l'ordre d'écriture.

-------------------------------------------------

Titre : Dernière confrontation

Genre : Science Fiction

Situation : Entre la saison 2 et 3

Auteur : Moi hihihi

Personnages : Les personnages de la série + un mystérieux jeune homme

Résumé : Alors qu'elle travaille tranquillement le Dr Weir est appelé lors d'une activation non programmé de la porte. Durant l'alerte, le bouclier de la porte cède. Qui va passer la porte ?

-------------------------------------------------

Intérieur - Bureau de Weir / Salle de contrôle

Le Dr Elizabeth Weir était à son bureau et travaillait sur les derniers rapports d’une des équipes d’exploration. Tout à coup la porte des étoiles s’activa. Elle se leva et partit à la salle de contrôle.

Weir : Vous recevez un code d’identification ?
Technicien : Non madame, c’est une activation non programmée.
Weir : Attendons un peu, peut-être ont-ils un problème ?

Il regarda l’écran de contrôle et répondit :

Technicien : Non, l’adresse est inconnue de la base de données.
Weir : Toutes les équipes de sécurité à la porte des étoiles. Fit-elle dans son oreillette.

Toutes les équipes arrivèrent armés, face à la porte. Soudain le bouclier de la porte céda.

Weir : Que se passe-t-il ? Pourquoi avez-vous baissé le bouclier ?
Technicien : Je n’ai rien fait. Il doit y avoir un dysfonctionnement.
Weir : Alors….

Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase qu’un jeune homme d’une vingtaine d’années sortit du vortex, il n’était pas armé. La porte se referma derrière lui.


Intérieur - Salle de réunion

Le jeune homme était assis à une table de la salle, un soldat était présent derrière lui, Weir arriva et s’assit face à lui. La salle avait été aménagée en salle d’interrogatoire pour les circonstances.

Weir : Je vais aller droit au but. Lorsque je vous pose une question j’apprécierais que vous y répondiez.

Il lui fit un signe de la tête en acquiescement.

Weir : Qui êtes-vous ?

Elle le regarda droit dans les yeux. Il semblait sûr de lui.

Jeune homme : Un ami.
Weir : Ce qui m’intéresse c’est votre nom.
Jeune homme : Lucas. Lucas Miller.
Weir : Comment avez-vous eu l’adresse de notre porte ?
Lucas : Ce n’est pas important.
Weir : Oh si au contraire. Si vous l’avez eu, d’autres le peuvent aussi.
Lucas : Non. C’est comme pour le bouclier, personne ne peut le savoir sauf moi.
Weir : Le bouclier ? C’est vous qui avez bloqué le bouclier ?

Il la fixa du regard en acquiescant de la tête auquel elle répondit en faisant de même. La porte s’ouvrit, c’était Sheppard. Weir tourna la tête vers lui.
Sheppard : Elizabeth, je peux vous parler ?
Weir : J’arrive.

Elle se leva, regarda Lucas et reprit :

Weir : Nous n’avons pas encore terminé.

Elle sortit de la salle laissant Lucas seul. Un homme apparu, il était plus vieux que lui, une quarantaine d’année environ.

Homme : Fais plus attention. Comment vas-tu t’en sortir ?
Lucas : T’en fais pas je trouverais un moyen.
Homme : Tu as intérêt. Si elle découvre qui tu es, notre mission sera un échec.
Lucas : Elle ne découvrira rien du tout. Ni elle, ni les autres.

Ben et la suite, où qu'elle est?

ça promet tout ça! Vivement la suite, et merci d'inaugurer les Ecrits!

La suite elle est lààààààà



Intérieur - Devant et dans la salle de réunion

Sheppard et Weir était devant la salle, ils discutaient.

Sheppard : On m’a dit qu’il était arrivé par la porte alors que le bouclier a été défectueux.
Weir : C’est juste. J’étais en train de l’interroger quand vous êtes arrivés, il est un peu bizarre même voir trop sûr de lui.
Sheppard : Laissez-moi rester avec vous. Je remplace le lieutenant.
Weir : Je peux très bien me débrouiller seul John.
Sheppard : Je le sais, mais c’est une précaution.
Weir : Bon, si vous voulez. Répondit-elle un peu agacée et amusé en même temps.

En même temps qu’ils rentrèrent dans la salle, l’homme à côté de Lucas disparut. Sheppard fit un signe au Lieutenant qui sortit. Lui-même fit un sourire narquois voyant Sheppard prendre la place du lieutenant. Weir s’assit face à Lucas.

Weir : Reprenons. Vous m’avez dit être un ami, alors pourquoi êtes-vous venu ?
Lucas : Pour vous aider. C’est ce que font les amis, non ?
Weir : C’est juste mais nous aider contre quoi ?
Lucas : Ça me semble évident. Contre les wraiths.
Weir : Les wraiths ?
Lucas : Oui.

Il tourna la tête vers Sheppard qui se trouvait derrière lui.

Lucas : Oh fait Colonel, ça va mieux depuis votre petite transformation ?!

Sheppard et Weir furent étonnés. Comment Lucas pouvait-il savoir ça ? John essaya de dégainer son arme mais quelque chose l’en empêcha.

Lucas : N’y pensez même pas John. Il ne faudrait pas que quelqu’un soit blessé.
Sheppard : Je n’arrive pas à sortir mon arme. Disait-il la main sur son arme encore dans son étui.
Weir : Comment faites-vous ça ?
Lucas : J’ai mes petits secrets Elizabeth. Bon c’est pas tout mais il faut que j’aille voir l’état de quelques appareils.

Il se leva en direction de la porte quand il s’arrêta.

Lucas : J’ai failli oublier votre main.

Sheppard retrouva la mobilité de sa main. Lucas sortit.

Weir : Il ne faut pas qu’il touche aux appareils anciens.
Sheppard : À toutes les équipes. Interceptez l’intrus, il sort de la salle de réunion.


Intérieur - Salle de contrôle

Lucas s’approcha d’un des appareils anciens, il n’eut pas le temps de le toucher que tous les soldats disponibles l’encerclèrent.

Lucas : Oui je me doutais de cette réaction là.

Sheppard et Weir arrivèrent en courant.

Sheppard : Mettez-le dans une cellule.
Lucas : Vous faites une erreur.

Les soldats escortèrent Lucas jusqu’à une des cellules de la cité.

Weir : Prévenez votre équipe Colonel. Nous avons les coordonnées de sa porte d’origine. Je veux savoir d’où il vient et qui il est.

Intérieur - Salle de la porte

La porte s’activa et s’ouvrit laissant passer Sheppard, Teyla, McKay et Ronon. Ils montèrent jusqu’à la salle de contrôle.

Weir : Qu’avez-vous découvert ?
Sheppard : Pas grand-chose.
Teyla : Tout ce que nous savons c’est qu’il est arrivé sur cette planète il y a 2 jours et qu’il a combattu les wraiths qui étaient en train d’enlever les villageois.
Rodney : Vous n’avez pas besoin de moi, je présume. Alors je m’en vais.
Ronon : Il a sauvé un bon nombre d’entre eux. Y compris l’un des villageois auquel on a parlé.
Sheppard : Ça vaut ce que ça vaut mais même si je n’ai pas confiance en lui et que je pense qu’il a quelque chose derrière la tête, je ne pense pas qu’il soit du côté des wraiths.
Weir : C’est déjà ça.


Intérieur - Cellule d’emprisonnement

Sheppard entra dans la salle de la cellule.

Sheppard : Alors à l’aise ?
Lucas : J’ai connu pire.
Sheppard : Pourquoi vous êtes-vous laissé faire tout à l’heure ?
Lucas : Parce qu’il n’y a pas de raison pour que je mette K.O tous vos soldats. On sait jamais ce qui peut se passer, quelque chose est vite arrivé ici.
Sheppard : Vous savez il y a quelque chose qui me travaille depuis tout à l’heure. Je me demande comment vous pouviez savoir nos prénoms ainsi que là par exemple que quelque chose peut très vite arriver ?
Lucas : Ah là je crains de ne pas pouvoir répondre.
Sheppard : Pourquoi ça ?
Lucas : Eh bien c’est assez complexe.
Sheppard : J’ai tout mon temps.
Lucas : Non, je ne crois pas que vous en aillez autant que ça.
Sheppard : Qu’est-ce que vous voulez dire ?
Lucas : Trois, deux, un.

La porte s’ouvrit, un soldat était derrière.

Soldat : Colonel, on a besoin de vous de toute urgence à la porte des étoiles.
Sheppard : Qu’est-ce qui se passe ?
Soldat : Je ne sais pas mon colonel, mes ordres étaient de vous prévenir.

Sheppard fixa Lucas du regard et partit en courant dans la salle de contrôle.


Intérieur - Salle de contrôle

Sheppard arriva en courant.

Sheppard : Que se passe-t-il ?
Weir : Nous avons une arrivée non programmée de la porte qui dure depuis quelques minutes. Rodney ?
McKay : Toujours rien. Aucune tentative d’entrée par la porte. Attendez une minute…
Sheppard : Quoi ?
McKay : L’adresse…

Des coups contre le bouclier se fit entendre, plusieurs personnes avaient tenté de passer la porte. Puis elle se referma.

Weir : Qu’avait l’adresse de si spéciale ?
McKay : C’était l’adresse d’une planète qui aux dernières nouvelles était asservie par les Wraiths.
Weir : Vous voulez dire qu’ils ont trouvé l’adresse de la porte ?
McKay : J’en ai bien peur.
Sheppard : Il savait que les wraiths avaient trouvé un autre moyen d’entrer sur Atlantis.
McKay : Qui ?
Sheppard : Lucas.

John repartit voir Lucas, il voulait des explications.

Vas-y Sheppy, vas-y Sheppy, vas-yyyyyyy! (air connu)

Intérieur - Cellule d’emprisonnement

Il entra en quatrième vitesse quelque peu énervé.

Sheppard : Comment le saviez-vous ?
Lucas : Comment je savais quoi ?
Sheppard : Vous le savez très bien. Que les wraiths tenteraient une entrée par la porte.
Lucas : Ah ça.
Sheppard : Oui ça.
Lucas : Ça va être un problème pour vous, parce que je ne vous dirais rien. C’est dommage.

Sheppard ouvrit la cellule et partit empoigner la gorge de Lucas.

Sheppard : C’est vous qui leur avez donné l’adresse de la cité ?

Lucas sourit sournoisement.

Sheppard : Vous avez intérêt de me répondre sinon…
Lucas : Je ne vous dirais rien. Je n’ai pas dit que je ne dirais rien, je répondrais, mais pas à vous.

Il lâcha son cou.

Sheppard : Je pensais que vous cachiez quelque chose mais j’étais loin de penser que vous travaillez avec les wraiths après ce qu’on a appris sur vous.
Lucas : Ecoutez, si j’avais voulu vous tuer je l’aurais fait moi-même. Je n’ai pas besoin des wraiths pour ça.
Sheppard : Alors dites-moi comment ils ont eu l’adresse de notre porte ?
Lucas : Je vous ai déjà répondu. Je le dirai mais pas à vous.
Sheppard : Très bien et à qui le diriez-vous ?
Lucas : Au docteur Weir.
Sheppard : Pourquoi ?
Lucas : Elle est plus diplomate que vous. Se moqua-t-il.

Sheppard quitta la pièce. Le même homme réapparut au côté de Lucas.

Homme : Ta situation n’est pas acceptable.
Lucas : Je t’ai rien demandé.
Homme : Pourquoi lui parler à elle et pas à Sheppard ?
Lucas : Je t’ai déjà dit que c’était pas ton problème.
Homme : Bien sûr que si c’est mon problème autant que le tien.
Lucas : Ça ne le sera plus quand tout sera fini.
Homme : Tes émotions ne doivent pas prendre le pas sur ta mission.
Lucas : Ferme-la Meardon. S’énerva-t-il.

Meardon disparut dans une lueur blanche comme une hallucination se mélange à l’horizon. La porte s’ouvrit, Weir entra.

Weir : Le colonel Sheppard m’a dit que vous ne vouliez parler qu’à moi. Pourquoi ?
Lucas : Qu’est-ce que ça peut faire ? L’essentiel c’est que je parle.
Weir : C’est juste. Alors je vous écoute. D’après le colonel Sheppard, vous saviez que les wraiths avaient notre adresse. Comment l’avez-vous appris ?
Lucas : Je le savais parce que c’est déjà arrivé.
Weir : Quoi ? Non, ça ne s’est jamais produit auparavant. C’est la première fois.
Lucas : Pour vous c’est vrai. Mais pas pour moi.
Weir : Comment ça pas pour vous ?
Lucas : Ça n’a pas d’importance. C’est Michael, c’est lui qui a donné l’adresse à quelques vaisseaux ruches.
Weir : Michael ? Qu’est-ce qui me dit que c’est la vérité ?
Lucas : Il n’y a pas si longtemps que ça, Michael vous a tendu un piège dans lequel vous êtes tombé tête première et grâce à ce piège il a eu accès au chemin vers la Terre alors pourquoi dirais-je que c’est Michael si ce n’est pas lui ?
Weir : Vous m’avez dit que vous aviez déjà vécu cette situation auparavant, comment cela est-il possible ?

Meardon réapparut près de Lucas. Apparemment Weir ne le voyait pas.

Meardon : Ne lui dis pas.

Lucas s’approcha des « barreaux » de la cellule et la regarda dans les yeux.

Meardon : Lucas tais-toi. Ne dis rien.
Lucas : Je dois lui dire. Répondit-il à Meardon tout en regardant Weir.
Weir : À qui parlez-vous ?
Lucas : Personne. Je réfléchis à haute voix.
Meardon : Si tu lui dis, la mission échouera.
Lucas : Je ne suis pas d’accord. Au contraire, ça permettra de montrer que je ne suis pas une menace.
Weir : Là aussi vous réfléchissez à haute voix ?
Lucas : En quelque sorte.
Weir : Vous pouvez continuer à réfléchir, pendant ce temps-là j’ai mieux à faire. Vous me demanderez quand vous vous déciderez à répondre à ma question.

Meardon poussa un soupir de soulagement. Weir était presque arrivée à la porte quand Lucas dit quelque chose.

Lucas : Je viens du futur.

Weir se retourna vers Lucas.

Weir : Pardon ?
Lucas : Si j’ai déjà vécu cette situation ; c’est parce que je viens du futur.

Elle était surprise par la réponse de Lucas et s’approcha de la cellule.

Weir : Vous ne pensez pas à haute voix là n’est-ce pas ?
Lucas : Non.
Weir : Et comment suis-je censée réagir ? Qu’est-ce qui me fait croire que vous dites la vérité cette fois ?
Lucas : Combien de personnes ici connaissent vos sentiments pour Sheppard ?

Cette phrase surprit Weir. Comment pouvait-il savoir ce qu’elle ressentait pour John alors que personne n’était au courant ? Il ne pouvait dire que la vérité sinon il n’aurait pas pu savoir.
Elle ouvrit la cellule.

Weir : Sortez.
Lucas : Vous êtes sur ?
Weir : Oui sortez.
Meardon : Tu vas le regretter Lucas, il aurait mieux valut ne rien dire.

Il fit mine de ne pas entendre Meardon qui disparut. Il sortit de la cellule suivant le docteur Weir.

Weir : Comment savez-vous pour…
Lucas : John ? Je ne peux rien dire. Du moins pas ce qui est du futur.
Weir : Pourtant ce que vous m’avez dit.
Lucas : Ça ne fait pas partie du futur mais du présent alors que si je vous dis de quelle manière je l’ai su…
Weir : Ça fera partit du futur.
Lucas : Exact. Ecoutez, je ne suis pas là pour vous causer du tort, juste pour vous aider contre les wraiths. Vous avez eu un aperçu avec leur découverte de l’adresse de la porte d’Atlantis.
Weir : Alors si je comprends bien, vous serez là pendant un moment.
Lucas : Non, je suis là pour un évènement bien précis qui aura des conséquences. Si je parviens à faire ce pourquoi je suis venu, je repartirais aussitôt.

Intérieur - Infirmerie

Ils arrivèrent, Beckett consultait les résultats d’un patient et referma le dossier.

Lucas : Pourquoi sommes-nous à l’infirmerie ?
Weir : Vous devriez le savoir.
Lucas : Oui, toute personne qui arrive sur Atlantis doit passer des examens médicaux au cas où il serait malade.
Weir : Vous voyez que vous le saviez. Le taquina-t-elle.
Dr Beckett pouvez-vous procéder à un bilan médical sur Lucas ?
Beckett : Bien sûr, venez.
Weir : Si vous me cherchez je suis dans mon bureau.

Elle repartit de l’infirmerie.


Intérieur - Couloirs d’Atlantis

Sheppard parlait avec Ronon quand il vit Weir. Il partit la voir.

Sheppard : Où est Lucas ? Quand je suis allé le voir, il n’était plus dans sa cellule.
Weir : Il est à l’infirmerie.
Sheppard : Vous l’avez libéré ?
Weir : Oui il n’est pas une menace, du moins pas pour nous.
Sheppard : Vous rigolez ? On ne sait rien de ce type.
Weir : Si il savait pour les wraiths c’est parce qu’il vient d’Atlantis.
Sheppard : D’accord vous pouvez reprendre du début.
Weir : Lucas a déjà vécu cette situation, je pense que plus tard ça recommencera.
Sheppard : Ce qui veut dire ?
Weir : Qu’il vient du futur.
Sheppard : C’est une blague ? Qu’est-ce qui nous prouve qu’il vient vraiment du futur ?
Weir : Il m’a dit quelque chose pour me convaincre.
Sheppard : Et qu’est-ce qu’il aurait bien pu vous dire pour vous convaincre qu’il vient du futur ?
Weir : Quelque chose que personne d‘autres que moi ne sait.
Sheppard : Comme… ?

Weir lui jeta un regard qui voulait dire que ce n’était pas ses affaires.

Sheppard : Je vois.
Weir : À plus tard Colonel.
Sheppard : Ouai.

Elle continua son chemin.


Intérieur - Couloirs d’Atlantis

Lucas sortit de l’infirmerie, il passa dans un couloir, il était désert. Il remit sa manche en place quand Ronon l’attaqua. Il essaya de le frapper. Mais à peine essaya-t-il de l’envoyer à terre qu’il fut projeté contre un mur et n’arriva pas à se relever. Lucas s’accroupit face à lui.

Lucas : Ça ne sert à rien Ronon. Ça ne marchera pas. Vous ne m’arrêterez pas. Aucun de vous ici ne le peut.

Ronon le regardait avec de la haine dans les yeux. Lucas lui fit un clin d’œil pour le narguer.

Lucas : À plus tard.

Raaaaaaah lala, mais que fait la police?!?!

Elle est partit au café se mettre un coups dans le nez



Intérieur - Salle de contrôle

Le docteur Weir était dans son bureau quand McKay l’appela à l’oreillette.

McKay : Elizabeth.
Weir : Oui Rodney.
McKay : Venez j’ai quelque chose à propos du bouclier.
Weir : J’arrive.

Elle se leva et marcha jusqu’à McKay.

Weir : Qu’y a-t-il ?
McKay : Le bouclier ne s’est pas déclenché tout à l’heure.
Weir : Je le sais déjà et ?
McKay : J’ai revérifié tous les diagnostics je ne sais combien de fois mais je n’ai absolument rien trouvé d’anormal. Il n’y a aucun dysfonctionnement. Bizarre n’est-ce pas ?

Lucas arriva près d’eux.

McKay : Ah c’est bien que vous soyez là…
Lucas : Moi aussi je suis heureux de vous voir, Rodney. Se moquait Lucas.
McKay : Oh fait comment êtes-vous venu ?
Lucas : Par la porte.
McKay : Je le sais mais je veux dire de quelle manière êtes-vous passé de votre temps au nôtre ?
Lucas : Grâce à une éruption solaire, j’ai composé l’adresse de la planète où vous êtes allé et une fois là-bas, j’ai composé l’adresse d’Atlantis.
McKay : Bien sûr. SG-1 a connu une situation similaire sur Terre.
Lucas : Et d’où croyez-vous que j’ai su comment faire ?
McKay : C’est juste.
Weir : Et pour le bouclier ?
McKay : Comment ça c’est vous qui avez bloqué le bouclier tout à l’heure ?
Lucas : Oui.
McKay : Super. Et moi qui ai passé des heures à chercher un dysfonctionnement quelconque.
Weir : Comment avez-vous pu bloquer le bouclier depuis une autre planète ?
Lucas : J’ai plus d’un tour dans la manche.

Teyla arriva et prit un écran plat. Elle vérifia des données et le remit en place.

Lucas : Ah Teyla. Ça vous dirait de vous entraîner ?
Teyla : Oui, j’allais justement y aller.
Lucas : Super. Je vous suis. Sourit-il.

Teyla et Lucas partirent. Pendant ce temps Beckett établit un contact radio avec Weir.

Beckett : Dr Weir, vous devriez venir.
Weir : Très bien j’arrive.



Intérieur - Infirmerie

Elle arriva à l’infirmerie, Sheppard était là.

Weir : Qu’y a-t-il Carson ?

Elle remarqua la présence de Sheppard.

Weir : Colonel.
Beckett : J’ai les résultats des analyses de Lucas.
Weir : Et ? Il y a quelque chose de spéciale ?
Beckett : Et bien oui. À vrai dire ses résultats vont vous surprendre.
Sheppard : Je savais qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas avec lui.
Beckett : En fait c’est ça le problème Colonel.
Weir : Soyez plus clair Carson.
Beckett : Et bien sa santé est presque parfaite. Lorsque j’ai vu les résultats je les ai refait trois fois mais ça n’a rien changé. Puis je me suis rappelé d’analyses similaires à celles là. Après une recherche assez fructueuse j’ai trouvé ce que je voulais.
Sheppard : Et si vous alliez droit au but.
Beckett : Les analyses de Lucas ressemblent beaucoup à celles de Chaya.
Sheppard : Chaya, l’Ancienne Chaya ?
Beckett : Oui colonel, cette Chaya là.
Weir : Donc vous voulez dire que Lucas est un ancien ?
Beckett : Non et c’est ça qui est problématique. Les résultats sont semblables mais pas identiques.
Sheppard : Donc il est entre les deux ?
Beckett : C’est possible. Je dirais qu’il est proche de l’ascension mais je ne peux jurer de rien. À vrai dire c’est même un diagnostic complètement hypothétique.

Je vous mets la suite, j'avais un peu zappé xD

Elle est courte parce que la scène d'après est assez conséquante



Intérieur - Salle d’entraînement

Weir marchait et ouvrit une porte, on vit Lucas en train de plaquer Teyla au sol.

Teyla : D’accord, je me rends. Ria-t-elle.
Lucas : Je savais que vous ne résisteriez pas. Rigola-t-il.

Weir : Lucas je peux vous parler ?

Il tourna la tête dans sa direction.

Lucas : Bien sûr.

Il lâcha Teyla et partit vers Weir.

Teyla : J’espère que j’aurais droit à une revanche.
Lucas : J’y compte bien. Sourit-il.

Weir recula, Lucas l’a suivit dans le couloir.

Lucas : Qu’est-ce qui se passe ?
Weir : Je peux savoir qui vous êtes ?
Lucas : Je vous l’ai déjà dit.
Weir : Beckett a eu les résultats de vos analyses et il a trouvé une ressemblance avec ceux d’une autre personne…

Le regard de Lucas changea, on remarqua la peur d’être découvert à l’expression de son visage.
Lucas : Je…
Weir : Pourquoi m’avoir révélé que vous veniez du futur et ne pas m’avoir dit que vous aviez une santé quasi ressemblante à une personne élevée.

À l’expression de son visage, on vit du soulagement.

Lucas : Euh…excusez moi, je n’y ai pas pensé sur le moment.

Un message radio se fit entendre à l’oreille de Weir.

McKay : Elizabeth, nous avons une activation non programmée de la porte.
Weir : J’arrive tout de suite.
Lucas : Je viens avec vous.

Ils partirent en courant.

La fuite, la fuite, la fuite!